
Et l’Islam radical, qui tente d’asservir les populations immigrées avant de se retourner et de s’en prendre définitivement aux Institutions françaises, est un élément fondamental de la menace concrète qui pèse sur notre identité. Trois valeurs, typiquement françaises, se trouvent ainsi bafouées :
- la laïcité, combattue par la mise en place de la Charia, au départ dans les « quartiers » ;
- la citoyenneté unique, directement attaquée par le concept de dhimitude (citoyenneté de seconde zone, réservée aux non-musulmans) ;
- la souveraineté de la Nation française, à laquelle s’oppose directement la « Oumma » (ou « internationale islamique »).
Dès lors, il n’est pas étonnant que certains spectacles s’observent de façon chronique, pour ne pas dire structurelle dans nos cités :
que des élèves refusent de se plier à la règle commune ou d’assister à certains cours sous des prétextes religieux.
Que des femmes doivent se voiler pour traverser certains quartiers, sous peine d’être importunées ou violentées.
Que des horaires de piscine doivent être aménagés pour certaines communautés et des accoutrements aquatiques prétendument religieux doivent être acceptés contre tout hygiène et bon sens.
Parallèlement, grâce au laxisme et parfois aux encouragements des élus, les mosquées prolifèrent :
- après la mosquée d’Orange dont «le patron et ses fils auraient mis sur pied un vaste réseau de prostitution»,
- après celle de Montfavet «dont les riverains ne veulent pas»,
- après la mosquée d’Orange dont «le patron et ses fils auraient mis sur pied un vaste réseau de prostitution»,
- après celle de Montfavet «dont les riverains ne veulent pas»,
-une troisième mosquée sur Carpentras dont «on ne connaît pas l’origine des fonds !» va voir le jour."
De Jean-Marie Le Pen, en conférence de presse à Carpentras