Vu sur Le Gaulois :
« Les bassesses se succèdent. Les socialistes décorent un imam de la
Légion d’Honneur mais la retirent à Jean-François Collin, un Ancien
Combattant mutilé pendant la guerre d’Algérie. Prétexte invoqué par la
mafia socialiste : il a appartenu à l’OAS.
Nous avons vraiment à faire à un État pourri jusqu’à la moelle qui patauge en pleine trahison !
Les socialistes et leurs vassaux auront un jour des comptes à rendre !
Et ils le savent. C’est pourquoi « les chacals craignent pour leur
peau… »
Ainsi, cet ex-membre de l’Organisation de l’Armée Secrète (OAS) s’est
vu retirer sa Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur. Elle lui avait
été décernée en 2011 à titre militaire comme mutilé de guerre en
Algérie.
J-F COLLIN, 1er Novembre 2011. |
Rappelons ici que François Hollande est Grand Maître de l’Ordre en
« qualité » de président de la république. Cette décision inique croit
pouvoir s’appuyer sur l’article R96 du code de la Légion d’Honneur qui
stipule que les peines disciplinaires (censure, suspension totale ou
partielle, exclusion) « peuvent être prises contre tout légionnaire qui
aura commis un acte contraire à l’honneur ». Comme si l’appartenance à
l’OAS était un manquement à l’Honneur !…
Or, de plus, les membres et les faits relatifs à l’OAS ont été amnistiés depuis longtemps (voir ci-dessous).
Cette décision est-elle donc vraiment
légale au regard des différentes amnisties prononcées depuis les
« évènements » d’Algérie ?… Il semble bien que NON ! N’y a-t-il pas là
matière à recours ?… Il semble bien que OUI !
Jean-François Collin, 73 ans, avait été nommé Chevalier de la Légion
d’Honneur avec traitement, dans la promotion du 5 mai 2011 réservée aux
militaires et anciens militaires au titre de mutilé de la guerre
d’Algérie, durant laquelle il avait servi comme sous-lieutenant. Il
préside actuellement l’Association de défense des intérêts moraux des
anciens détenus (Adimad) ayant appartenu à l’OAS.
Fidèle à sa Parole et à ses Camarades, Jean-François Collin n’a pas semblé surpris de cette exclusion.
Devant la stèle de l’Adimad à Marignane, le 1er novembre 2011, après
avoir reçu sa décoration d’un ex-camarade de l’OAS, il avait alors dédié
sa Croix de Chevalier « à tous les combattants de l’OAS qui sont morts
les armes à la main ou ont été fusillés par le plus grand traître de
l’Histoire de France (De Gaulle). Ce sont eux, aujourd’hui, qui
devraient être honorés à ma place ! Et pour que les choses soient
limpides, je vous promets que je ne porterai jamais cette Croix tant
qu’il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l’Élysée! ».
Malheureusement, il y a aujourd’hui encore et toujours un grand ami du
FLN à l’Elysée en la « personne » de Hollande lui-même !… à qui tout
sentiment d’Honneur est totalement étranger. Son discours d’Alger est là
pour en témoigner.
C’est à cet « homme » qu’il devrait être interdit d’arborer la Légion d’Honneur !
Amnisties de l’OAS
Dès le mois de décembre 1964, les prisonniers OAS condamnés à des
peines inférieures à quinze ans de détention sont amnistiés, car il
s’agit de prisonniers politiques.
En mars 1966, une centaine de condamnés est graciée et, trois mois
plus tard, une seconde loi d’amnistie efface les condamnations des
condamnés libérés.
Le général Jouhaud, condamné à mort le 13 avril 1962, passe 235 jours
dans une cellule de condamné à mort, sa peine est commuée en
perpétuité, il est libéré en décembre 1967.
En 1968, des anciens de l’OAS rencontrent Jacques Foccart pour lui
proposer leur ralliement au régime gaulliste contre la «chienlit» et
demander l’amnistie des membres de l’organisation encore incarcérés,
ce qu’ils obtiendront.
Cette amnistie est promise par De Gaulle à Massu, lors de sa visite à Baden Baden.
En juillet 1974, une amnistie complémentaire efface d’autres condamnations pénales.
En décembre 1982, les officiers survivants sont réintégrés dans les
cadres de l’armée par une nouvelle amnistie (loi du 24 novembre
1982). C’est ainsi que le Capitaine Pierre Sergent, Chef de
l’OAS-Métropole, atteindra le grade de Colonel de Réserve.
En 1987, une loi sur les rapatriés amnistie les dernières condamnations encore effectives.»
Commentaire JN Toulon:
Alors que l'on remet la Légion d'Honneur à des étrangers et des vendus, voilà que la mafia socialiste décide de la retirer à un homme qui à fait, lui, preuve d'honneur en décidant de combattre contre l'abandon d'un territoire Français.
Nous soutenons Jean-François COLLIN qui doit bien s'amuser à voir s'étrangler encore et toujours les gaullistes et amis du FLN.