Avant toute
chose, l'équipe de JNToulon et les militants nationalistes Toulonnais tiennent à vous souhaiter une bonne et sainte fête de
Noël.
Malgré la joie dans laquelle nous plonges cette période de l'année, il est important de ne pas oublier le combat nationaliste qui est le notre et, en cette période de Noël, ce combat passe essentiellement par le vocabulaire et les symboles auxquels nous l'associons.
Noël, célébration de la naissance de Jésus, n'est plus aujourd'hui dans le cœur des Français comme la saine et sainte fête ou l'on se retrouve, après la Messe de Noël, en famille ou entre amis afin de partager un bon repas, une bonne soirée et éventuellement de s'échanger des présents afin de témoigner la sympathie que l'on a pour l'un ou l'autre.
Aujourd'hui, Noël c'est vu perverti par le Système. Tout d'abords en remplaçant de manière lente mais efficace le bon Saint Nicolas fêté le 6 décembre par le très laïcard Père-Noël, sous produit de la culture Yankee, vantée par l'industrie Coca-Cola. Les années ont passé et voilà que l'on ne met le petit Jésus dans la crèche non plus le 25 décembre comme le veut la tradition mais le premier et encore si la crèche a gardée une place dans le foyer.
Au travers de la mise en place du Père-Noël, c'est toute une mentalité malsaine qui c'est mis en place pour la fête de Noël. Une mentalité mercantile, sur-consommatrice, basé sur l'argent, le paraître et qui nous a fait oublier l'essence même de Noël. Au-delà de la naissance du Christ il s'agit d'une fête fraternelle, d'une fête de paix et d'une fête de partage et à ces trois mots il est important d'y apporter la bonne définition.
Fraternelle tout d'abord. N'y voyons pas là la définition ignoble de la république qui nous ordonnes de nous soumettre à l'étranger chez nous! La seule et unique définition de "fraternité" pourrait être rappeler par cette notion de "frères d'armes". Unis dans la douleur, dans la lutte, nos amis, nos camarades, nos frères d'armes sont notre famille et c'est une joie pour nous de nous retrouver ainsi entre nous.
La paix ensuite. Il ne s'agit pas là de souhaiter la paix universelle de manière bête et stupide mais surtout d'espérer la paix pour les nôtres , même si cela doit nous coûter la vie. Car notre combat s'inscrit dans cet optique, celui d'assurer la paix aux nôtres.
Le partage pour finir. L'on pourrait reprendre ce qui fût écrit plus haut en disant que, nos frères d'armes étant notre famille car ils acceptent la douleur avec nous, pour nous, comme nous acceptons la douleur du combat pour nos familles, quoi de plus beau que de partager un repas avec ceux qui quotidiennement se battent à nos côtés que ce soit dans la rue, au travail ou dans le quotidien de cette folle société.
Chers lecteurs, je vous le dis, aujourd'hui Noël vit des heures sombres car perverti par nos ennemis. Cependant, c'est à nous de les combattre coup après coup et lorsque nous aurons opéré notre Révolution Nationale, cette révolution des âmes et des cœurs et bien alors Noël, dans notre Ordre Nouveau, reprendra sa dignité et illuminera les foyers de France des véritables valeurs qui sont les siennes !
Vive la Révolution Nationale !
Vive la France !
Joyeux Noël !
C. pour JNToulon.
