Général Soubelet lors de son audition |
S’étant
annoncé comme un porteur d’une parole « iconoclaste » au début d’une
audition devant la représentation (anti)nationale, le général Bertrand
Soubelet, n° 3 de la gendarmerie, a dressé un constat accablant de la
situation dans les campagnes françaises, avec, en toile de fond, la part
majeur des étrangers dans les crimes et délits.
« L’insécurité et le sentiment
d’insécurité ne cesseront d’augmenter tant que la réponse collective à
la délinquance ne sera pas adaptée. […] Les gendarmes sont inquiets car
on prend plus soin des auteurs que des victimes. Les auteurs d’atteintes
aux biens (cambriolages, vols…), les plus importantes numériquement,
bénéficient d’un traitement pénal qui leur permet de continuer à exercer
leurs activités. […] Quand vous lâchez 65 % de ceux qui se sont rendus
coupables d’un certain nombre d’exactions [65 % des cambrioleurs
interpellés dans les Bouches-du-Rhône en novembre 2013 étaient déjà
dehors au moment de l’audition], comment voulez-vous que les chiffres
baissent ? C’est tout à fait impossible. Vous pouvez multiplier par deux
les effectifs de gendarmes dans les Bouches-du-Rhône, cela ne
changerait rien. »
« La notion de sanctuaire rural et périurbain n’existe plus […] la délinquance et l’insécurité frappent au cœur de nos territoires, dans la ruralité profonde. »
Le général a énuméré toutes les « astuces » des juges d’extrême
gauche pour masquer la réalité de la criminalité : ainsi, ils libèrent
les délinquants étrangers car il est trop difficile et trop cher de
trouver un interprète ; lorsque le préjudice est inférieur à 300 euros,
« on remet tout le monde dehors ». Le général rappelle que si
les arrestations ont largement augmenté (+4 %), le nombre
d’incarcération a lui chuté (-33 % de placements sous écrou),
conformément aux directives criminelles de Christiane Taubira et du
gouvernement Ayrault.
Cela les criminels le savent, et, précise le général, ils « profitent du système ».
Cela les criminels le savent, et, précise le général, ils « profitent du système ».
Lu sur Jeune Nation