Si les meurtres de Français dans les
rues de Paris ou d’Alsace ne choquent personne, si les profanations de
cimetières catholiques ou d’églises par les colons afro-maghrébins ou
les prostituées des Femen ne font réagir aucune autorité, le simple
dépôt de la tête d’un animal devant une mosquée ou un geste plus
vulgaire qu’antisémite devant une synagogue devient un crime d’État.
La profanation non pas réalisée devant mais dans
l’église de La Madeleine à Paris la semaine dernière a été
quasi-totalement occultée par les médiats. Le 20 décembre, une membre du
réseau Femen mimait un avortement dans l’église, utilisant le foie d’un
animal pour ensanglanter les lieux, en pleine période de Noël. La
plainte déposée par le prêtre n’a eu « aucune suite », alors même que la prostituée impliquée était clairement identifiée. Sa maquerelle, Inna Shevchenko, s’en est même vantée :
« Rien ne s’est passé, Éloïse n’a pas été appelée par la police. Cela montre combien l’Église est devenue faible en France…»
se félicitant de pouvoir multiplier les actions prônant la prostitution et de multiples autres perversions sexuelles.
À l’inverse, les fils d’Israël sont parvenus de faire d’un simple geste, la « quenelle », les prémices d’une nouvelle ‘shoah‘.
Habilement orchestrée par le lobby juif, l’affaire de la quenelle est
devenue une affaire internationale, entraînant des réactions hostiles à
la France à travers le monde, faisant front avec ce petit peuple
toujours plus innocent, malgré les projets d’extermination des Européens
en 1940, malgré l’inhumaine occupation de la Palestine.
Une autre affaire vient rappeler que si les Français, leurs
religions, mœurs, coutumes sont reniées et condamnées, les non-Européens
bénéficient au contraire du soutien indéfectible de la République. Un
fait, il faut le préciser non pas ouvertement terroriste (les Femen ont
appelé à des actions terroristes le 1er janvier), mais sans doute réalisé par un fêtard au lendemain de la Saint-Sylvestre.
La tête d’un sus scrofa domesticus (un cochon donc) a été déposée devant la mosquée de Dzaoudzi Labattoir en Petite Terre à Mayotte, petite île près de Magadascar, le 1er janvier. Cette œuvre probable d’un individu alcoolisé a déclenché l’hystérie sur l’île et jusqu’à Paris, le préfet condamnant « fermement cet acte choquant et indigne » et le ministre Victorin Lurel dénonçant une « odieuse profanation » perpétrée
devant la mosquée de Dzaoudzi à Mayotte dans la nuit du 31 décembre au
1er janvier. Il a assuré que le gouvernement mettrait « tout en œuvre » pour en retrouver les auteurs.
La mort de Nicolas, elle, n’a pas incité ni Manuel Valls ni aucun ministre à intervenir pour sommer les policiers de « tout mettre en œuvre » pour arrêter les criminels. Il est vrai que pour ce dernier le réveillon a eu un bilan « positifs » et « encourageant ».
Article publié sur Jeune-Nation.com
