Qu'est ce que le Nationalisme ?

« Le nationalisme français incarne la doctrine politique qui entend œuvrer à la continuité de la France dans l’acceptation de tout son passé. Résolument tournés vers l’avenir, les nationalistes français travaillent chaque jour leur propre volonté. Ils acceptent librement d’être les maillons d’une chaîne ininterrompue qui a fait l’histoire de notre pays. Ils sont les instruments d’une histoire bimillénaire qui ne doit pas s’interrompre. Nous sommes de ceux-là.»

mardi 22 juillet 2014

Impuissance républicaine !

« Ce qui s’est passé à Sarcelles est intolérable, s’attaquer à une synagogue, à une épicerie kasher, c’est tout simplement de l’antisémitisme, du racisme. »

a déclaré Manuel Valls qui a pourtant largement montré depuis plus de deux ans combien il tolère les actions criminelles des colons sur le sol français.
« Il est normal dans la République qu’on puisse manifester, mais il est intolérable qu’on s’en prenne à des synagogues »

a répété l’impuissant Bernard Cazeneuve, incapable de faire respecter les interdictions de manifestations des édictées par Israël. Il a dénoncé des actes « graves et intolérables » qui ont pourtant été plus que tolérés, prétendant que les auteurs seraient « poursuivis et punis », alors même que la justice a déjà démontré qu’elle se montrerait d’un laxisme exemplaire.

Poussée par les élans guerriers de Sion, la parole se libère au sein du Parti socialiste. Alors que Le Nouvel observateur parlait de « safari », Claude Bartolone a évoqué « des hordes acharnées ». Il ne parlait pas d’une Blanche violée par des criminels Afro-Maghrébins ou d’un Blanc massacré par une bande ethnique, mais de quelques dégâts matériels chez un boutiquier israélite :
« A Sarcelles, une synagogue a été explicitement, il y a quelques heures, prise pour cible par une bande fanatisée. Un commerce a été dévasté, parce qu’il était réputé accueillir une clientèle juive. Des slogans ouvertement antisémites, prônant l’assassinat, la destruction et la flétrissure, prolifèrent et se répandent »


s’est lamenté le président de l’Assemblée antinationale.
« Nous devons tous, Républicains, réagir et savoir être solidaires parce que ceux qui font ça défient la France, défient la République. Je suis prêt à soutenir le gouvernement […] s’il est efficace. Je me reconnais dans les propos tenus par Manuel Valls, d’une extrême fermeté, sur ce nouvel antisémitisme, sur cette façon dont nous devons surveiller sur les réseaux sociaux, la façon dont ces groupuscules qui s’en prennent à la France s’organisent pour agir »

a renchéri le franc-maçon Xavier Bertrand. Au contraire, son camarade de feu l’UMP Bruno Le Maire s’est interrogé sur la pertinence des interdictions :
« Quand on interdit, encore faut-il se donner les moyens d’interdire […] j’ai dit la semaine dernière que l’interdiction des manifestations ne me semblait pas une bonne idée, que la liberté de manifester était un principe constitutionnel et qu’il ne fallait pas y toucher. Ils ont voulu y toucher, ils ont voulu interdire et ne se sont pas donné les moyens d’interdire. […] Ce que je constate c’est qu’il y a eu d’autres manifestations qui ont été autorisées, il n’y a pas eu de débordements, il n’y a pas eu de violence. […] Je demande au gouvernement de prendre toutes les mesures nécessaires pour que les fauteurs de trouble soient arrêtés, jugés et condamnés et s’il devait y avoir des ressortissants étrangers parmi ces fauteurs de trouble qu’ils soient expulsés du territoire français car leur place n’est pas sur le territoire français. Je ne confonds pas la petite bande de voyous excités, radicalisés, extrémistes, antisémites, qui se sont livrés à des actes intolérables sur le territoire français à Paris ou à Sarcelles avec l’immense majorité de la communauté musulmane qui est touchée, blessée par ce qui se passe aujourd’hui à Gaza et qui l’exprime, mais qui l’exprime sereinement, tranquillement ».

À l’extrême gauche, le député communiste Jean-Jacques Candelier a demandé la dissolution du groupe terroriste juif LDJ dans une lettre ouverte à François Hollande et de soutien à la Palestine. C’est le même qui avait dénoncé à la tribune de l’Assemblée antinationale fin juin la « finance apatride » ; il demeure pourtant en partie encore corrompu par le marxisme puisqu’il décrit la LDJ comme une « organisation criminelle fasciste » (sic).