Article paru sur Jeune Nation:
Voilà, l'été touche à sa fin et les vacances des
blogs politiques aussi, le populo reprend le chemin de l'usine, le
cadre celui de son bureau et le patronat celui du MEDEF, nos politiques
celui du CRIF.
Comme quoi, voyez-vous chacun se retrouve là où il est le mieux soumis
ou là où il est le mieux payé. ( je ne parle pas forcément des ouvriers
ou des cadres...)
Les congés payés ainsi consommés, il faut en mériter d'autres pour cet
hiver et l'été prochain, en espérant (pour l'ouvrier et le cadre) qu'il y
aura une augmentation de salaire cette année, surtout après les
traditionnelles grèves de chaque automne voulue par le Patronat et
organisé par les syndicats financés par ces derniers que l'Etat regarde
avec bienveillance en montrant que la Démocratie est toujours vivante
puisqu'elle s'exprime librement dans la rue...
Rien ne bouge en réalité, le travailleur travaille, le cadre encadre le
travail du travailleur le Patronat souri aux actionnaires, les
actionnaires font le Marché, le marché dicte sa loi aux Etats, le
chômage augmente, le nombre de congés payés diminue. La Crise, ah la
Crise, celle qui force le travailleur à travailler d'arrache-pied, à se
soumettre davantage au diktat de sa hiérarchie, elle-même obligée de
s'imposer des cadences infernales pour réaliser des objectifs toujours
plus impossibles à atteindre chaque année. Les congés payés
extraordinaire outil de motivation, carotte du salariat, grande conquête
sociale.
Nous nous préparons à la rentrée scolaire de nos enfants, moment
d'intense activité financière, moments terrifiants pour les parents que
ceux des rentrées de classes et de leurs cortèges de courses, moments
excitants pour les Grandes surfaces, les grands magasins spécialisés qui
voient leur CA explosé. Et pour les ménagères leurs porte-monnaie
s'assécher, enfin porte-monnaie plus vraiment, nous pouvons parler
maintenant de l'explosion de leurs crédits. L'argent difficilement
économisé pendant l'année pour offrir des vacances à leur progéniture,
n'est plus, et de plus en plus de français font appel au crédit pour
payer les crayons, cartables, accessoires et livres scolaires, quand
d'autres ont aussi payé leurs vacances à crédit.
Le crédit, outil d'asservissement des masses qui ne pourraient pas vivre
sans vacances, sans TV, sans la PS, sans caméscope, plutôt rogner sur
la bouffe que d'avoir l'impression très désagréable de ne plus avoir les
moyens d'être comme tout le monde, alors que tout le monde est comme
cela. Le crédit et ses cartes, outils extraordinaire l'aliénation des
masses. Vous n'avez plus rien, plus d'argent, vous êtes au RMI, au
chômage, qu'importe vous méritez de tout avoir comme tout le monde,( la
bonne blague), alors prenez un ou deux ou 10 crédits, consommez,
affaiblissez-vous, consommez encore et encore avec de l'argent que vous
n'avez pas et que vous n'aurez jamais, puisque cet argent que vous
n'avez pas et qui vous permet d'acheter, vous le rembourserez toute
votre vie, et votre mort sera à l'image de votre vie: à crédit.
Pour rembourser, vous allez devoir tout accepter, n'importe quel job, à
n'importe quel salaire, vous allez vous plier à des petits chefs pas
vraiment mieux lotis que vous, mais qui ont eu un peu plus de courage
mais tout autant de crédits sur le dos qu'ils doivent rembourser coute
que coute et vous en serez pour vos frais, ils ne vous feront aucun
cadeaux et vous accepterez votre sort.
Les syndicats viendront pour vous "protéger" du vilain patronat, parce
que vous être un être humain et qu'on ne traite pas un être humain comme
cela, vous allez adhérer, vous allez coller, vous allez manifester et
peut être perdre un peu de votre salaire pour vous faire entendre,
presque... Le syndicat aura fait son office de garde-fou du système,
vous, vous penserez être protégé et défendu, que vos 'droits' seront
garantis et vous travaillerez encore davantage pour rattraper le salaire
perdu pendant que vous manifestiez, par votre dur labeur obligatoire
(faut bien rembourser ses crédits) pour aller aider un actionnaire à
s'enrichir et au système de perdurer.
L'Etat, garant des libertés et de l'égalité des traitements verra votre
bonne volonté à vous amender, il félicitera le syndicat d'avoir défendu
les travailleurs, et il donnera des gages au marché de sa bonne gestion
des ressources humaines. Et pour la masse que représente le peuple des
votants il claironnera que la Démocratie se porte bien, puisque tout le
monde est satisfait: la grande distribution qui vit de plus en plus
grâce à la consommation à crédit, les banques et organismes financiers
qui voient le nombre de leurs clients augmenter.
Qu'il advienne une baisse de la consommation et l'Etat ouvre les vannes
de l'immigration, les consommateurs en état de dépenser diminuant,
surtout en période de crise, il en faut de nouveau.
L'immigration est donc un levier économique extraordinaire pour la
survie d'un système se basant sur la consommation pour perdurer. Plus de
consommateurs, donc plus d'esclaves qui devront travailler de plus en
plus dur pour de nouveau payer leurs crédits si 'gentiment" consentis
par les banques et l'accord de l'Etat.
L'adage créé de toutes pièces que nous assènent les cerbères du système
'l'immigration est une chance pour la France' est une réalité, c'est
d'ailleurs au point où nous en sommes une vraie chance, mais pas pour la
France, pour eux, pour ces nouveaux esclavagistes qui ont remplacé le
fouet et par l'argent-crédit, par le besoin de consommer à tout prix des
produits manufacturés ou industrialisés dont personne n'a réellement
besoin mais que tout le monde a envie de posséder. NON l'immigration
n'est ni une chance pour la France ni pour les immigrés.
L'immigration est un processus de destruction culturelle, nationale et raciale au profit de maîtres du système mondialiste.
Nous sommes devenus ces ânes qui avancent à la carotte et au bâton,
incapables de penser de réagir, trop content de nos petits congés payés
et de notre misérable salaire de fin de mois, quel que soit le montant
de ce salaire, il est le garant de notre soumission.
L'immigration voulue, choisie, programmée est un esclavage moderne, qui
parque ses nouveaux esclaves dans des cités, dans des immeubles
insalubres. Le système n'a que faire de la dignité humaine, il lui faut
toujours davantage de soumis et de travailleurs. Il ne présente pas cela
de cette manière, non, plus pervers comme le sont ceux qui tiennent les
rennes... Il présente la Démocratie, le mondialisme, nouveau sésame
pour un avenir radieux, il présente la consommation, la liberté d'être
ce que l'on veut (homo, lesbiennes, trans, noir, blancs, chrétien,
musulman, laic, athée etc...mais surtout des consommateurs).
Le libéralisme, ou la sociale démocratie ne sont que des mots pour
définir notre soumission, les grandes orientations économiques d'antan
n'ont plus court, il ne s'agit plus de faire une politique économique de
droite ou de gauche, de défendre le patron ou l'ouvrier, il s'agit
désormais de soumettre l'un et l'autre à l'économie mondiale,
qu'importent les nations, qu'importent les peuples, ce sont de vielles
badernes, le Nouvel Ordre Mondial aidé par cette crise venue fort à
propos, va balayer tout cela.
Finis des différences de races, de cultures, d'Histoire et de religions,
nous serons tous identiques (aux yeux du système) tous des
consommateurs vivant dans une Démocratie Totalitaire. Le Nouvel ordre
Mondiale, cet empire où quelques seigneurs règneront sur les milliards
d'individus, sera l'apogée de notre civilisation et la mort de notre
humanité. Car ce qui fait la richesse de notre monde se sont bien nos
différences et non l'amalgame de ces différences, ce qui enrichi l'homme
c'est cette pléiade de différences et non l'uniformité.
Nous sommes, chaque individu, un élément de cette diversité et nous
devons la préserver, blancs, noirs, jaunes etc... L’acceptation des
cultures n'est pas l'assimilation de plusieurs cultures pour n'en faire
plus qu'une, cela tuerait les cultures et l'identité de chaque être
humain.
Pour lutter contre ce mensonge du métissage, il faut
réaffirmer notre fierté raciale, que le blanc soit fier d'être blanc,
même si comme cela s'entend parfois 'il n'a pas demandé à naitre blanc',
que le noir soit fier d'être noir, le jaune doit être fier aussi de sa
couleur de peau. Elle est ce que nous sommes, nous nous définissons par
ce que nous montrons d'emblée, c'est à dire notre couleur de peau.
' Je suis blanc et fier de l'être' dire ceci n'est pas une preuve de racisme, c'est une vérité absolue et non attaquable.
Pour lutter contre le brassage culturel, et
l'impérieuse nécessité de mélanger à tous prix toutes les cultures de la
Terre pour, au final, n'en faire plus qu'une, il faut défendre notre
culture et donner à tous l'amour et le respect de leur propre culture.
Le métissage culturel est un appauvrissement des richesses culturelles
de l'humanité toute entière. Un blanc doit être fier de ce qu'il est de
par sa culture tout comme un noir, un jaune etc... Elle définit aussi ce
que nous sommes, renier ceci serait se renier soi-même et se renier
soi-même est l'acceptation volontaire de sa propre disparition et de sa
soumission au mondialisme, à l'uniformisation culturelle de tout
l'humanité.
'Je suis français et fier de ma culture française et européenne'
ceci n'est ni raciste, ni xénophobe, ceci est une réalité naturelle, une
vérité.
Pour lutter contre l'oubli de notre Histoire millénaire,
il faut en accepter toutes les périodes qui nous ont précédées, les
glorieuses comme les sombres, il faut refuser les mensonges, les
falsifications de l'Histoire. Il faut sans cesse chercher la vérité, non
pas celle imposée comme religion, mais celle qui a fait ce que nous
sommes. ne rien renier du passé, ne pas s'excuser de tout, nous sommes
les héritiers de toute notre Histoire, la renier ou s'en excuser serait
disparaitre de ce livre merveilleux qu'est l'Histoire de notre
civilisation. Ne rien renier, mais défendre notre passé. Le passé fait
ce que nous sommes, et ce que nous sommes détermine notre future. Casser
un maillon de cette chaine de vie est renoncer et annihiler notre
passé, perdre notre présent et détruire notre avenir.
Notre Histoire est riche d'évennements, elle construit chaque jours notre identité.
Les tenants du mondialisme veulent la pervertir, la rendre laide afin
que, nous ne puissions plus nous retourner en arrière et contempler 2000
ans d'évolution, de sacrifices et d'amour de notre terre. les
sacrificateurs d'Histoire, nous en donnent une nouvelle, mélange
d'incohérence, de mensonges éhontés.
Chaque civilisation doit préserver son histoire pour la continuer, ne
pas la soumettre à d'autres, être fier de son passé, c'est reconnaitre
tout ce qui a été fait.
'Je suis français fier et orgueilleux de l'Histoire de mon pays, par
conséquent, de mon Histoire" ceci n'est ni raciste, ni xénophobe, ceci
n'appelle pas à la haine, ceci est un cri d'amour pour la France
éternelle.
Pour lutter contre la disparition des religions au profit d'une seule,
nous devons être fiers de nos croyances, de notre foi. Il ne peut
exister une religion mondiale, comme il n'a pas existé une religion
révolutionnaire en 1789. Nier aux hommes leur droit à leur propre foi
est nier même ce qui fait l'être humain, c'est à dire un homme de foi et
de conviction. Que nous soyons chrétiens, musulmans, nous avons un
Dieu, une foi et une religion. Ces religions ne doivent pas disparaitre
au profit d'une seule qui serait la religion planétaire. La religion
catholique a fondé notre Histoire et notre Nation par le baptême de
Clovis, elle est le garant de notre unité et de notre force commune. La
renier serait renoncer à ce que nous sommes et nous perdre dans
l'inconnu.
'Je suis français, chrétien catholique et fier de l'être' ceci n'est
ni raciste, ni xénophobe, ceci est ma foi et ne peut être attaqué.
L'abandon de la France par ceux qui pensent nous gouverner est un acte
de trahison et passible des tribunaux, la soumission de nos gouvernants
aux volontés des mondialistes est aussi un acte de trahison. Vendre la
France, sa race, sa culture, son Histoire est une félonie.
Réduire le peuple de France à une cohorte d'esclaves obéissants au bâton et à la carotte est une trahison.
Pour défendre ce que nous sommes, ce que nous représentons fièrement,
c'est à dire un peuple blanc de culture helleno-chrétienne, maillon
d'une Histoire riche et civilisatrice née de la foi catholique, il faut à
notre pays un pouvoir qui garantisse le respect de ce que nous sommes
et la défense de notre héritage, pour qu'à notre tour nous le
transmettions à nos enfants.
Nous réclamons un Etat français non soumis aux
puissances d'argents, non soumis à l'étranger. Nous réclamons que le
pouvoir revienne entre les mains du peuple de France et non de Tel ou
tel autre peuple élu ou non.
Nous réclamons un gouvernement qui ne soit aux ordres
de personne, ni de Washington ni de Tel-Aviv. Nous réclamons un Etat qui
ne reconnaisse pas la religion mondialiste qu'est la Shoah.
Nous rejetons les fausses valeurs issues de la révolution bourgeoise et franc-maçonne de 1789, ne rejetons les fausses valeurs de l'argent du système.
Nous refusons notre soumission
Nous refusons de nos excuser
Nous refusons de vous écouter, vous n'êtes pas le peuple de France, vous ne le serez jamais, La France ne vous appartient pas.
Nous vous rejetons...
EdB
Qu'est ce que le Nationalisme ?
« Le nationalisme français incarne la doctrine politique qui entend œuvrer à la continuité de la France dans l’acceptation de tout son passé. Résolument tournés vers l’avenir, les nationalistes français travaillent chaque jour leur propre volonté. Ils acceptent librement d’être les maillons d’une chaîne ininterrompue qui a fait l’histoire de notre pays. Ils sont les instruments d’une histoire bimillénaire qui ne doit pas s’interrompre. Nous sommes de ceux-là.»