Ce samedi 29 septembre 2012 marquera un
tournant et de nouvelles perspectives dans la lutte nationaliste pour
redevenir maîtres chez nous et rendre la France aux Français ! Plus
encore que lors de la précédente rafle des souchiens du 23 juin dernier à
Lyon, les nationalistes sont parvenus à mettre à nu le régime
anti-Français au pouvoir et à montrer à tous son incroyable faiblesse !
En dérapant totalement dans leur répression aveugle et féroce, plongeant
le jeune conseiller régional Alexandre Gabriac dans le coma à force de
le tabasser, multipliant les arrestations purement politiques, le
Système a montré à quel point il était aux abois devant ceux qu'il sait
être ses seuls véritables opposants, nous, nationalistes des Jeunesses
Nationalistes ou de l’Œuvre française, qui n'avons peur de rien et qui
avons l'intention inébranlable d'abattre de régime d'occupation pour
enfin rétablir la France !
Depuis deux mois, les Jeunesses Nationalistes avaient rendu publique leur intention de manifester aujourd'hui à Paris sur le thème : « Contre les zones de non-droit et le racisme anti-Blanc : Maîtres chez nous ! ».
Depuis le début, les contacts nécessaires avec la préfecture de police avaient été pris, et au fil de plusieurs rendez-vous visant à convenir des habituelles formalités d'organisation (parcours de la manifestation, estimation du nombre de participants, organisation et gestion du service d'ordre, etc) pour que tout se déroule correctement, le préfet avait fait savoir à plusieurs reprises aux organisateurs dont Alexandre Gabriac, le fondateur et président des Jeunesses Nationalistes que, tout étant conforme, il ne voyait aucun inconvénient à cette manifestation.
C'est ainsi que, logiquement, la préfecture de police de Paris a rendu publique mercredi sa décision d'autoriser la manifestation des Jeunesses Nationalistes ( voir notre article ici ).
« Tout a été déclaré dans les règles, il n'y a pas de motifs d'interdiction », déclarait la préfecture. « Pour être interdite, une manifestation doit être susceptible de provoquer « des troubles à l'ordre public » ou « être dans l'impossibilité technique de se réaliser ». Des risques écartés par la préfecture de police qui a rendu sa décision mercredi matin », pouvait-on lire dans la presse qui avait contacté la préfecture pour avoir une confirmation.
A partir de ce moment-là, les centaines de nationalistes, de vrais patriotes et de Français non reniés que l'on avait trop longtemps bâillonnés depuis de nombreux mois, le gouvernement d'occupation socialiste et son ministre à la kippa Manuel Valls ayant jusque là multiplié les interdictions de manifestations dès qu'il s'agissait de Français de souche qui souhaitaient s'exprimer dans leur propre pays - lequel, il est vrai, n'est pas et ne sera jamais celui du franc-maçon Valls, naturalisé "Français" depuis 1982 seulement... - ont alors finalisé tous leurs préparatifs pour aujourd'hui, prenant leurs billets de train pour les retardataires ou organisant les covoiturages au départ des quatre coins de l'Hexagone.
En outre, tous savaient qu'était également organisée par l’Œuvre française hier soir à 19h30 à Paris (donc la veille) une réunion nationaliste portant elle aussi sur le thème « Maîtres chez nous ! », décidément plus que jamais d'actualité, et avec de nombreux intervenants de qualité.
Ainsi, pour la plupart de ces nationalistes heureux de pouvoir à la fois se former à l'occasion de cette réunion puis le lendemain de manifester enfin leur amour de la France au coeur de la capitale, le voyage était prévu pour arriver au plus tard vendredi en fin d'après-midi.
Or, ce que tous ignoraient alors qu'ils étaient soit sur la route soit à bord de leur train à destination de Paris, c'est que le régime de l'Anti-France et son roquet à kippa Manuel Valls leur tendaient un véritable piège. Ces pantins ridicules de la mafia sioniste et mondialiste qui constituent l'actuel gouvernement d'occupation a certainement pris sa décision hier matin lors du conseil des sinistres. Sans pour autant la rendre publique tout de suite...
Ce n'est en effet que hier en fin d'après-midi que la préfecture de police de Paris, en une formidable volte-face digne des meilleurs singes de cirques bien dressés par leurs maîtres, rendit publique sa "nouvelle" décision : celle d'interdire la manifestation du lendemain des Jeunesses Nationalistes, au prétexte fallacieux que celle-ci pourrait "provoquer des troubles à l'ordre public" (sic) ! Ce que pourtant elle niait pas plus tard que deux jours auparavant !
Soit-disant, quelques dizaines de crasseux d'extrême-gauche pouvaient "vouloir en découdre" avec les nationalistes - auquel cas, il appartenait justement aux forces de l'ordre de les en dissuader en les repoussant d'une manifestation préalablement autorisée -, ou de barbus salafistes qui n'auraient pas digéré que leur manifestation à eux soit interdite, oubliant un peu trop vite que dans un pays comme la France qui n'est pas le leur et dont ils devraient être chassés immédiatement, leur seul droit est de fermer leur claque-merde.
Mais tout cela paraît tout de même bien étrange... Durant les deux mois où la manifestation nationaliste avait été annoncée et ce jusqu'à mercredi, il n'y aurait eu aucun motif, selon les mots de la préfecture, d'interdire la manifestation, or, brusquement, en deux jours, des "risques de trouble à l'ordre public" auraient été soudainement découverts, comme sortant d'une pochette-surprise offerte à Hannouka !...
Quelque chose nous dit que ce sont plutôt les amis à kippa du ministre à kippa de l'Intérieur (et des cultes !) Manuel Valls, eux qui savent repérer qui sont leurs véritables adversaires, qui sont les responsables de ce coup de vice. C'est signé. Qui s'y connaît mieux en terme de vices et de fourberie que cette engeance politico-religieuse ?
Mais cette fange ne nous fait pas plus peur que les interdictions : nul ne peut nous faire taire ! Nous sommes maîtres chez nous !
Aujourd'hui, il s'agissait de s'occuper et d'encadrer les centaines de militants qui, malgré les nombreuses annulations de dernière minute, répondaient présents en arrivant à Paris.
Nous n'entendions pas nous faire bâillonner en France par un régime politique qui n'est pas de France. Nous, fils et filles de France, avons toute légitimité pour nous exprimer dans notre propre pays, pour dénoncer le racisme anti-Blanc et anti-Français qui frappent les Français de souche partout en France sans qu'ils n'osent bien souvent s'en plaindre ! Nous entendions clamer haut et fort, dans notre capitale, que nous sommes ici maîtres chez nous !
C'est pourquoi, pacifiquement mais fermement, un ordre de rassemblement avait été donné à Paris,.
Ainsi, c'est sur le parvis de Notre Dame de Paris que le chef de file du Nationalisme en France et président de l’Œuvre française Yvan BENEDETTI a alors pu intervenir pendant environ 45 minutes, démontrant à tous que rien ni personne ne pouvait empêcher les Français non reniés de relever la tête et d'être maîtres chez eux. Les nationalistes véritables que nous sommes avons défié le système en plein Shabbat, montrant notre volonté inextinguible de rendre la France aux Français !
Il est hors de question que nous tenions compte d'interdictions émanant de politiciens illégitimes, qui, hier encore, sacralisaient le droit au blasphème en invoquant une pseudo-liberté d'expression, en réalité réservée exclusivement aux agents de l'Anti-France et à leurs compagnons de route porteurs de kippa, mais qu'ils refusent obstinément aux fils et filles de France !
Après cette lumineuse intervention du président de l’Œuvre française, et avant même que nous soyons tous encerclés au pieds de la Statue de Charlemagne place Notre Dame à Paris, un groupe de policiers du ministre franc-maçon à la kippa Manuel Valls se ruaient immédiatement sur les militants pour les arrêter avec une brutalité inouïe, dont Yvan Benedetti qu'ils ont menotté jusqu'au sang avec tentative d'étranglement, couvrant son cou d'hématomes.
Pendant ce temps, d'autres policiers allaient chercher Alexandre GABRIAC dans un bar voisin pour procéder à une arrestation purement politique encore une fois.
Là, les policiers du gouvernement d'occupation sioniste ont fait preuve d'une violence extrême, avec coups de pieds et de matraques très discrets mais aussi vicieux que leur ministre à la kippa, le traitant comme s'ils avaient affaire à un terroriste ou un dangereux criminel. Alexandre GABRIAC, littéralement tabassé par les policiers qui le recouvraient, à été ensuite trainé, attrapé par les bras et les jambes et soulevé de terre pour être jeté dans un véhicule de police ! Près d'une heure plus tard, on apprenait qu'il était à l'hôpital dans le coma...
Depuis deux mois, les Jeunesses Nationalistes avaient rendu publique leur intention de manifester aujourd'hui à Paris sur le thème : « Contre les zones de non-droit et le racisme anti-Blanc : Maîtres chez nous ! ».
Depuis le début, les contacts nécessaires avec la préfecture de police avaient été pris, et au fil de plusieurs rendez-vous visant à convenir des habituelles formalités d'organisation (parcours de la manifestation, estimation du nombre de participants, organisation et gestion du service d'ordre, etc) pour que tout se déroule correctement, le préfet avait fait savoir à plusieurs reprises aux organisateurs dont Alexandre Gabriac, le fondateur et président des Jeunesses Nationalistes que, tout étant conforme, il ne voyait aucun inconvénient à cette manifestation.
C'est ainsi que, logiquement, la préfecture de police de Paris a rendu publique mercredi sa décision d'autoriser la manifestation des Jeunesses Nationalistes ( voir notre article ici ).
« Tout a été déclaré dans les règles, il n'y a pas de motifs d'interdiction », déclarait la préfecture. « Pour être interdite, une manifestation doit être susceptible de provoquer « des troubles à l'ordre public » ou « être dans l'impossibilité technique de se réaliser ». Des risques écartés par la préfecture de police qui a rendu sa décision mercredi matin », pouvait-on lire dans la presse qui avait contacté la préfecture pour avoir une confirmation.
A partir de ce moment-là, les centaines de nationalistes, de vrais patriotes et de Français non reniés que l'on avait trop longtemps bâillonnés depuis de nombreux mois, le gouvernement d'occupation socialiste et son ministre à la kippa Manuel Valls ayant jusque là multiplié les interdictions de manifestations dès qu'il s'agissait de Français de souche qui souhaitaient s'exprimer dans leur propre pays - lequel, il est vrai, n'est pas et ne sera jamais celui du franc-maçon Valls, naturalisé "Français" depuis 1982 seulement... - ont alors finalisé tous leurs préparatifs pour aujourd'hui, prenant leurs billets de train pour les retardataires ou organisant les covoiturages au départ des quatre coins de l'Hexagone.
En outre, tous savaient qu'était également organisée par l’Œuvre française hier soir à 19h30 à Paris (donc la veille) une réunion nationaliste portant elle aussi sur le thème « Maîtres chez nous ! », décidément plus que jamais d'actualité, et avec de nombreux intervenants de qualité.
Ainsi, pour la plupart de ces nationalistes heureux de pouvoir à la fois se former à l'occasion de cette réunion puis le lendemain de manifester enfin leur amour de la France au coeur de la capitale, le voyage était prévu pour arriver au plus tard vendredi en fin d'après-midi.
Or, ce que tous ignoraient alors qu'ils étaient soit sur la route soit à bord de leur train à destination de Paris, c'est que le régime de l'Anti-France et son roquet à kippa Manuel Valls leur tendaient un véritable piège. Ces pantins ridicules de la mafia sioniste et mondialiste qui constituent l'actuel gouvernement d'occupation a certainement pris sa décision hier matin lors du conseil des sinistres. Sans pour autant la rendre publique tout de suite...
Ce n'est en effet que hier en fin d'après-midi que la préfecture de police de Paris, en une formidable volte-face digne des meilleurs singes de cirques bien dressés par leurs maîtres, rendit publique sa "nouvelle" décision : celle d'interdire la manifestation du lendemain des Jeunesses Nationalistes, au prétexte fallacieux que celle-ci pourrait "provoquer des troubles à l'ordre public" (sic) ! Ce que pourtant elle niait pas plus tard que deux jours auparavant !
Soit-disant, quelques dizaines de crasseux d'extrême-gauche pouvaient "vouloir en découdre" avec les nationalistes - auquel cas, il appartenait justement aux forces de l'ordre de les en dissuader en les repoussant d'une manifestation préalablement autorisée -, ou de barbus salafistes qui n'auraient pas digéré que leur manifestation à eux soit interdite, oubliant un peu trop vite que dans un pays comme la France qui n'est pas le leur et dont ils devraient être chassés immédiatement, leur seul droit est de fermer leur claque-merde.
Mais tout cela paraît tout de même bien étrange... Durant les deux mois où la manifestation nationaliste avait été annoncée et ce jusqu'à mercredi, il n'y aurait eu aucun motif, selon les mots de la préfecture, d'interdire la manifestation, or, brusquement, en deux jours, des "risques de trouble à l'ordre public" auraient été soudainement découverts, comme sortant d'une pochette-surprise offerte à Hannouka !...
Quelque chose nous dit que ce sont plutôt les amis à kippa du ministre à kippa de l'Intérieur (et des cultes !) Manuel Valls, eux qui savent repérer qui sont leurs véritables adversaires, qui sont les responsables de ce coup de vice. C'est signé. Qui s'y connaît mieux en terme de vices et de fourberie que cette engeance politico-religieuse ?
Mais cette fange ne nous fait pas plus peur que les interdictions : nul ne peut nous faire taire ! Nous sommes maîtres chez nous !
Aujourd'hui, il s'agissait de s'occuper et d'encadrer les centaines de militants qui, malgré les nombreuses annulations de dernière minute, répondaient présents en arrivant à Paris.
Nous n'entendions pas nous faire bâillonner en France par un régime politique qui n'est pas de France. Nous, fils et filles de France, avons toute légitimité pour nous exprimer dans notre propre pays, pour dénoncer le racisme anti-Blanc et anti-Français qui frappent les Français de souche partout en France sans qu'ils n'osent bien souvent s'en plaindre ! Nous entendions clamer haut et fort, dans notre capitale, que nous sommes ici maîtres chez nous !
C'est pourquoi, pacifiquement mais fermement, un ordre de rassemblement avait été donné à Paris,.
Ainsi, c'est sur le parvis de Notre Dame de Paris que le chef de file du Nationalisme en France et président de l’Œuvre française Yvan BENEDETTI a alors pu intervenir pendant environ 45 minutes, démontrant à tous que rien ni personne ne pouvait empêcher les Français non reniés de relever la tête et d'être maîtres chez eux. Les nationalistes véritables que nous sommes avons défié le système en plein Shabbat, montrant notre volonté inextinguible de rendre la France aux Français !
Il est hors de question que nous tenions compte d'interdictions émanant de politiciens illégitimes, qui, hier encore, sacralisaient le droit au blasphème en invoquant une pseudo-liberté d'expression, en réalité réservée exclusivement aux agents de l'Anti-France et à leurs compagnons de route porteurs de kippa, mais qu'ils refusent obstinément aux fils et filles de France !
Après cette lumineuse intervention du président de l’Œuvre française, et avant même que nous soyons tous encerclés au pieds de la Statue de Charlemagne place Notre Dame à Paris, un groupe de policiers du ministre franc-maçon à la kippa Manuel Valls se ruaient immédiatement sur les militants pour les arrêter avec une brutalité inouïe, dont Yvan Benedetti qu'ils ont menotté jusqu'au sang avec tentative d'étranglement, couvrant son cou d'hématomes.
Pendant ce temps, d'autres policiers allaient chercher Alexandre GABRIAC dans un bar voisin pour procéder à une arrestation purement politique encore une fois.
Là, les policiers du gouvernement d'occupation sioniste ont fait preuve d'une violence extrême, avec coups de pieds et de matraques très discrets mais aussi vicieux que leur ministre à la kippa, le traitant comme s'ils avaient affaire à un terroriste ou un dangereux criminel. Alexandre GABRIAC, littéralement tabassé par les policiers qui le recouvraient, à été ensuite trainé, attrapé par les bras et les jambes et soulevé de terre pour être jeté dans un véhicule de police ! Près d'une heure plus tard, on apprenait qu'il était à l'hôpital dans le coma...
Malgré les coups, en montant dans le car de police aux vitres teintées, Alexandre était encore parfaitement conscient. Que s'est-il passé dans ce car de police, durant les 50 minutes qui ont séparées son arrestation brutale de l'interpellation des autres militants ? À l'abri de tous regards, jusqu'où sont allés les flics du système, suivant les ordres du ministre à la kippa Manuel Valls ? Comment se fait-il qu'au bout de ces cinquante minutes, Alexandre avait plongé dans le coma ?
Nul doute que le défi permanent qu'il lance au système par le biais de ses actions coups de poing, de sa volonté d'acier de ne jamais plier, de son immense capacité de nuisance aux yeux du régime ploutocratique et sioniste en fait certainement l'ennemi politique n°1, ou n°2 derrière Yvan Benedetti...
Même si, aux dernières nouvelles de l'hôpital, il s'agirait d'un semi-coma - mais coma tout de même ! - cela prouve définitivement que nous visions juste dans notre action politique et qu'ainsi, nous avons réussi à dévoiler un régime aux abois qui n'est fort et tout-puissant qu'en apparence, mais dont la faiblesse est désormais évidente.
Et, au même titre qu'aucune interdiction ne nous fera taire comme nous venons une fois de plus de le prouver, nous rendons coup pour coup et sommes implacables envers nos adversaires. Peu importe qu'ils ne soient même pas Français, qu'ils soient ministres et portent une kippa en bons sionistes enragés, tout en étant franc-maçons appartenant au Grand Orient de France, membres de cercles mondialistes occultes comme le Bilderberg et, last but not least, membres aussi depuis 2001 du fameux club Le Siècle...
Parallèlement, Yvan BENEDETTI a été placé en garde à vue, avec deux autres militants qui auraient "outragé" les flics du sioniste à kippa du ministère de l'Intérieur.
Entre-temps, Les policiers du système avaient encerclé une partie des militants et procédé à une soixantaine d'interpellations. Encore une nouvelle rafle de souchiens, pour motifs uniquement politiques ! Ils ont été conduits dans un dépôt SNCF, entourés de barbelés et ont du patienter plus de trois heures...
Voilà qui rappelle furieusement, eux qui raffolent de cette expression et l'utilisent dès qu'une rafale de vent fait s'envoler une kippa dans la rue, les"heures les plus sombres de notre histoire".
Voilà qui démontre surtout l'état de panique dans lequel se trouve le système dès qu'il s'agit des nationalistes des Jeunesses Nationalistes et de l’Œuvre française.
Jamais ils n'étaient allé aussi loin qu'aujourd'hui, enfreignant toutes les lois en vigueur, plongeant un conseiller régional dans le coma à force de le tabasser à l'abri des regards dans un car de police aux vitres teintées !
Aucun autre mouvement ou groupe de la mouvance dite "d'extrême-droite" n'a jamais été traité de la sorte.
Tout ceci n'a rien à voir avec de quelconques "troubles à l'ordre public", prétexte fallacieux masquant une action et des arrestations purement politiques !
Le régime d'Anti-France aux mains des sionistes panique et ne sait comment endiguer un mouvement qu'il juge "extrêmement dangereux" pour le Système, surtout au vu de son implantation solide et rapide dans toute une série de régions de France en moins d'un an !
En dérapant complètement aujourd'hui dans leur répression aussi féroce que révélatrice, ils n'ont fait que se montrer enfin tels qu'ils sont réellement : un système aux abois qui a peur, miné par les crises économiques dont il sait que l'aggravation inéluctable va obligatoirement entraîner une gigantesque crise sociale, suivie d'une crise politique sans précédent depuis un demi-siècle, et que les coups de boutoir incessants menés par la minorité révolutionnaire et inaccessible au découragement que constituent la communauté militante de l’Œuvre française et des Jeunesses Nationalistes, avec leurs nombreuses ramifications souterraines, pourraient bien dans les prochains mois ou les prochaines années frapper la faille fatale qui fera alors s'écrouler ce mastodonte aux pieds d'argile...
En attendant, comme c'est bizarre... Silence total sur toutes les télévisions d'Etat sur les graves évènements de cet après-midi...
Arrestation d'Alexandre GABRIAC
Source Jeune Nation
