Qu'est ce que le Nationalisme ?
« Le nationalisme français incarne la doctrine politique qui entend œuvrer à la continuité de la France dans l’acceptation de tout son passé. Résolument tournés vers l’avenir, les nationalistes français travaillent chaque jour leur propre volonté. Ils acceptent librement d’être les maillons d’une chaîne ininterrompue qui a fait l’histoire de notre pays. Ils sont les instruments d’une histoire bimillénaire qui ne doit pas s’interrompre. Nous sommes de ceux-là.»
mercredi 6 juillet 2011
Devoir de mémoire!
lu sur CONTRE-INFO
C’était un 6 juillet : l’assassinat sordide de Roger Degueldre par la République, version De Gaulle.
A l’aube de ce 6 juillet 1962, au fort d’Ivry, le lieutenant Roger Degueldre, militaire de prestige et engagé dans le combat pour l’honneur au sein de l’OAS, s’avance vers le peloton, auquel l’a condamné la « cour de justice militaire ».Autour de son cou, il a noué un foulard de la Légion, au sein de laquelle il a brillamment servi. Dans la poche intérieure de sa vareuse, la photo d’un bébé : son fils qu’il n’a jamais vu. II a conçu cet enfant dans la clandestinité et le bébé était venu au monde alors que son père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort. Les autorités ne l’ont jamais autorisé à le voir…
« Delta » (son surnom de clandestinité) paraît fièrement devant la mort qui doit le frapper, ignorant qu’elle sera terriblement lente.Le peloton d’exécution n’en mène pas large. Les trois premiers officiers désignés pour commander ce dernier ont d’ailleurs refusé et seront rayés des cadres.Puis l’ordre est lancé et la salve part. Mains tremblantes ou volonté de ne pas commettre un crime : sur onze balles, une seule balle atteint le lieutenant !L’officier chargé de lui donner le coup de grâce doit ensuite s’y reprendre à six fois pour l’achever, au cours d’interminables minutes, et doit même aller chercher un second révolver avant que Degueldre ne meure.
Par tradition, depuis la monarchie, en France, quand l’exécution d’un condamné à mort est manquée, celui-ci est gracié.Pour Degueldre, au contraire, ce fut un acharnement à tuer ce symbole d’une résistance qui en valait bien d’autres. Une méthode infâme typique de la répression gaulliste.