Qu'est ce que le Nationalisme ?

« Le nationalisme français incarne la doctrine politique qui entend œuvrer à la continuité de la France dans l’acceptation de tout son passé. Résolument tournés vers l’avenir, les nationalistes français travaillent chaque jour leur propre volonté. Ils acceptent librement d’être les maillons d’une chaîne ininterrompue qui a fait l’histoire de notre pays. Ils sont les instruments d’une histoire bimillénaire qui ne doit pas s’interrompre. Nous sommes de ceux-là.»

lundi 26 mai 2014

"Le monde moderne : Une Atlantide submergée dans un dépotoir."

 
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Comme nous l’avons montré à diverses reprises, les avancées sataniques dites sociétales ne sont pas simplement orchestrées par le petit gouvernement de notre indigénat pour sidérer et divertir une population laminée par la crise économique, un chômage stupéfiant, une taxation inouïe, qui pourrait être animée par un esprit de rébellion ou de vengeance envers ces gnomes politiciens. Elles ne le sont pas pour cette raison, contrairement à ce qu’affirme bêtement la nième candidate du Système, la Le Pen n°2 : l’Engeance profite du marasme du moment, de la situation angoissante pour imposer à une société perdue les jougs qui parachèveront son asservissement. De la naissance de l’individu jusqu’à sa mort, son existence est balisée, autorisée ou non, raccourcie peu ou prou.

    La légalisation de l’avortement en 1975 et sa défense acharnée par la fausse exterminée Simone Veil, restera malheureusement la meilleure illustration de cette stratégie diabolique qui fut appliquée lors d’une crise économique fort anxiogène.  Les conséquences de la dépénalisation, de la légalisation puis de l’apologie et la glorification de l’avortement  sont incommensurables à l’aune de la prétendue opération de sidération conjoncturelle qui ne sert qu’à endormir les petits esprits, les médiocres ou les agents du Système comme cette pauvre Marine Le Pen. La France réelle est aujourd’hui gangrenée du fait de cet avortement sacralisé : Le couple ou la femme qui auparavant prit le temps d’accepter et de chérir l’enfant à naître, fait aujourd’hui le choix de son annihilation si le bébé ne « cadre » pas avec les schémas stéréotypés gravés dans le cerveau des parents par l’appareil idéologico-médiatique. L’immense majorité, l’écrasante majorité des millions d’enfants massacrés sur l’autel de l’instantanéité émotionnelle (institué par cette maçonnerie de mort !) serait aujourd’hui de bons Français qui auraient joui de tout l’amour parental imaginable (et n’auraient pas été rejeté comme l’affirme la propagande se gargarisant du non désir superficiel de petites femmes que l’ « on » entretient dans leur déréliction), à 99,5% blancs, eux-mêmes père ou mère d’enfants blancs et français qui ne pourraient accepter, ne serait-ce que physiquement, l’invasion de notre terre par des hordes néo-barbares.


   L’horreur brute, l’horreur morale, la tuerie permanente engendrant un vide démographique que comblent grâce à la volonté de l’Engeance mondialiste des populations allogènes pour lesquelles la France n’est rien. Et dire que la candidate officielle du patriotisme ne souhaite pas l’arrêt de l’extermination de nos petits frères… A croire que, pour paraphraser Bloy, la vraie patrie des hommes et des femmes selon elle, c’est leur désir immédiat… Un sybaritisme transposé dans la sphère politique.

    Les non avortés d’hier seront les euthanasiés de demain

    L’Engeance de mort sait optimiser les forces en présence à son profit. Elle le fait d’autant plus facilement que le monde, apprécié quasi uniquement sous le prisme médiatique, est devenu virtualité où les forces de bien n’ont plus leur place. Seules les options de néant et de mort sont louées par le media prégnant ! Avons-nous déjà pu visionner, par exemple, une émission télévisée mettant en exergue d’une manière non malveillante ces femmes faisant le choix de la vie plutôt que celui de la mort ? Non, bien entendu, le Mal s’appuie sur la répétition et l’exclusivité médiatique, le non-partage, pour corrompre les esprits car un seul zeste de vérité et de lumière est parfois capable d’anéantir toutes les constructions discursives de nos démons établis.

    L’inhumanité qui nous « gouverne » a besoin des effets traumatisants sur les cervelles sans protection de toutes leurs écholalies pour imposer par le viol cognitif ses décrets létaux. Et bientôt les résonances des  tu avorteras, c’est bien ; tu avorteras, c’est bien ; tu avorteras, c’est bien ; s’enrichiront des messages funestes de la mort « joyeuse ». Ou la Grande Faucheuse en blouse blanche et nez rouge sur la tronche… Tu te suicideras, c’est digne ; tu te suicideras, c’est digne ; tu te suicideras, c’est digne…  Il est d’ailleurs évident que le mot passe-partout de dignité n’est pas venu naturellement à l’esprit putréfié des partisans de l’euthanasie tous azimuts mais constitue un véritable mot-clé de commerciaux mortuaires sélectionné dans les Loges au cours d’ateliers ténébreux. Tous l’utilisent, à tout propos, mécaniquement, systématiquement, frénétiquement, hystériquement, commodément, opportunément, profusément, immodérément, insolemment, insciemment, nonchalamment, criminellement.

    Forts de leur organisation non démocratique et donc pérenne, forts d’un arsenal médiatique affreusement babélique, forts de la corruption de tous les partis politiques officiels, les décideurs de notre indigénat ont su ne pas mettre la charrue avant les bœufs, préparer l’opinion comme un proxénète prépare ses gaupes à accepter le scandale. Des associations ont été créées, des associations chantant la liberté et la dignité, des associations épaulant le malheureux en lui tenant la main afin qu’il ne s’écarte point du chemin de mort où il s’est un moment engagé…  Des hommes politiques corrompus de naissance sont gentiment stipendiés pour fabriquer un cadre légal à la mort institutionnalisée. 

    Pour mourir dans la dignité, voyez-vous, il faut mourir précocement : C’est la seule, l’unique conclusion rationnelle que nous pouvons déduire du discours effroyable des agents de l’Engeance. Les grandes souffrances des grands malades incurables (aujourd’hui) ne servant que de prétextes imparables au blabla euthanasique dans notre société crypto-hédoniste. Certes, les thèses euthanasiques ne sont pas très récentes mais qu’est-ce qu’une idée ayant germé dans les circonvolutions cérébrales de quelques malades lucifériens ? L’Engeance gardait bien au chaud les thèses abominables sur l’avortement, l’ « union » homosexuelle et l’euthanasie et le suicide clinquant, comme il gardait sous la main le projet exterminateur abortif ! Mais quand elle a décidé que le projet de mort doit être réifié, tout est mis en œuvre sur les plans intellectuel, médiatique et politique pour que l’entreprise aboutisse.

    Une mise en condition progressive

    Il est indéniable que la tâche de concrétisation nouvelle des idées de mort est dévolue à l’équipe de gauche de l’échiquier politique en carton pâte.  Lors de la dernière campagne précédant les élections présidentielles, le globule Marisol Touraine abordait le thème euthanasique, avec une prudence de sioux à l’aune de la folie meurtrière d’aujourd’hui.  En janvier 2012 notre globicéphale exposait le projet de François Hollande en la matière : « François Hollande propose que toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable puisse bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité. Le mot d’euthanasie n’est ici pas utilisé même si on va effectivement dans ce sens. Nous voulons définir un cadre qui réponde aux volontés de ceux qui souffrent sans toutefois autoriser le suicide assisté », déclarait-elle alors pour aller aussi vite que la musique diffusée par la propagande maçonnique du moment.
    Mais la femme aux yeux anormalement exorbités est une fieffée menteuse ! Un an seulement après cet exposé sur une euthanasie « académique » (dans l’air du temps), Marisol Touraine (fille du mondialiste fanatique Alain Touraine) était invitée à commenter un extrait d’un reportage effroyable sur la folie euthanasique helvétique. Un passage tiré d’un documentaire assassin présenté par le journaliste équivoque Anthony Bellanger qui officie sur ARTE sous le nom ridicule du Blogueur… Un reportage que l’on penserait parodique si on le visualisait sans avoir suivi les présentations d’usage… Une femme septuagénaire, très alerte, discutant mi-allongée sur un lit, prête à boire son gobelet de cocktail lytique, et elle le fait devant les yeux ébahis de téléspectateurs encore bien naïfs ! Elle boit la chose, elle la boit après avoir discuté de tout et de rien avec sa propre fille qui lui a préparé la boisson amère ! Une dinguerie absolue que l’on n’avait pas encore vu au travers d’un sketch ou d’un autre !

    Dignité=Suicide

    Elle voulait se suicider, voilà, c’est tout, on ne discute pas la liberté, on ne discute pas la dignité, on ne discute pas la mort, on ne discute pas le Néant ! On ne discute pas l’Engeance ! Commentaires de Marisol la folle après le visionnage de cette désolation le 4 mars dernier: « C’est une démarche (sic) qui existe en Suisse, qui est possible et à laquelle nous réfléchissons, puisque le président de la république a saisi le conseil consultatif national d’éthique (la logique syntaxique d’une Normalienne…). Il y a des hommes et des femmes qui veulent choisir les conditions de leur mort, qui veulent vivre jusqu’au bout dans la dignité. Et je dois dire que c’est évidemment des images extrêmement fortes et qui nous obligent à réfléchir et à voir ce que l’on peut proposer. Ce sera fait dans les prochaines semaines. » 

    « C’est un peu comme si on était un chien chez un vétérinaire » déclarait la dame en pleine forme devant la caméra une minute avant de s’éteindre. Dans la dignité ? Dans le même temps, le fan de Florence Cassez, c’est-à-dire le sidaïque homosexuel libéral Jean-Luc Romero, s’excitait sur la lenteur des réformes suicidaires : Et la liberté digne de crever proprement bordel ! Pour Jean-Luc Romero, l’Ordre des médecins fait "un contre-feu". "Ils savent très bien qu’aujourd’hui le gouvernement est en train de travailler sur un projet de loi. Ils ont extrêmement peur qu’on en arrive à l’euthanasie ou au suicide assisté. Ils essayent de prendre des positions pour exister dans ce débat", a-t-il affirmé. "C’est complètement tactique. L’Ordre des médecins a toujours été très en retard sur tout, notamment sur l’IVG", a-t-il ajouté. Petit vampire tapant du pied, de colère, attendant la mort comme le marabout en en perdant toute dignité. La dignité, le code maçonnique ouvrant une fenêtre vers la mort…

    Comme le sait si bien, cette autre fille de cinglé mondialiste, la finaude Martine Aubry qui, le 25 janvier dernier, discutait sur LCI avec le vénérable Christophe Barbier autour de la question euthanasique : « Le plus important est la dignité du malade » ; comprendre sa mort… « La dignité, insista-t-elle, c’est, je crois, le mot essentiel ». Et elle finit ainsi son entrevue en souriant au compère Christophe… La dignité…

François-Xavier Rochette, Journaliste à Rivarol