Sur les routes où nous chantons (chant à Ste Jeanne d'Arc)
1er couplet
Sur les routes où nous chantons,
Fais-nous joyeux, ô fière Jeanne !
De ton rire insolent et frais,
Tu fis pâlir les soldats anglais.
Tu aimas les joyeux garçons,
Purs et hardis à tenir campagne;
Sur les routes où nous chantons,
Fais-nous joyeux, ô fière Jeanne !
Fais-nous joyeux, ô fière Jeanne !
De ton rire insolent et frais,
Tu fis pâlir les soldats anglais.
Tu aimas les joyeux garçons,
Purs et hardis à tenir campagne;
Sur les routes où nous chantons,
Fais-nous joyeux, ô fière Jeanne !
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2e couplet
Sur les routes où nous peinons,
Fais-nous plus durs, ô rude Jeanne!
Au grand trot de tes noirs coursiers,
Tu entraînas Prince et Routiers.
Sous l'effort, quand nos corps ploieront,
Garde nos coeurs de ces pleurs de femmes.
Sur les routes où nous peinons,
Fais-nous plus durs, ô rude Jeanne !
•Fais-nous plus durs, ô rude Jeanne!
Au grand trot de tes noirs coursiers,
Tu entraînas Prince et Routiers.
Sous l'effort, quand nos corps ploieront,
Garde nos coeurs de ces pleurs de femmes.
Sur les routes où nous peinons,
Fais-nous plus durs, ô rude Jeanne !
3e couplet
Sur les routes où nous luttons,
Fais-nous vainqueurs, ô forte Jeanne !
Dans l'effroi des sanglants combats,
Tu bondissais devant tes soldats.
Sur tes pas, quand nous nous battrons,
Nous saurons bien forcer les victoires.
Sur les routes où nous luttons,
Fais-nous vainqueurs, ô forte Jeanne !
•Fais-nous vainqueurs, ô forte Jeanne !
Dans l'effroi des sanglants combats,
Tu bondissais devant tes soldats.
Sur tes pas, quand nous nous battrons,
Nous saurons bien forcer les victoires.
Sur les routes où nous luttons,
Fais-nous vainqueurs, ô forte Jeanne !
4e couplet
Sur les routes où nous mourrons,
Emporte-nous, ô saint Jeanne !
De la cendre de ton brasier,
Tu t'envolas en plein ciel de mai,
De nos chairs qui défailleront,
D'un vif élan fais jaillir nos âmes.
Sur les routes où nous mourrons,
Emporte-nous, ô sainte Jeanne !
Emporte-nous, ô saint Jeanne !
De la cendre de ton brasier,
Tu t'envolas en plein ciel de mai,
De nos chairs qui défailleront,
D'un vif élan fais jaillir nos âmes.
Sur les routes où nous mourrons,
Emporte-nous, ô sainte Jeanne !