Laroussi Oueslati, un ancien président de l’université de Toulon, a été condamné mercredi à deux ans de prison dont un avec sursis pour corruption, détournement de fonds publics et faux pour avoir pris part à un trafic d’inscriptions d’étudiants chinois.
Le tribunal l’a également condamné à 10 000 euros d’amende et 35 000 euros solidairement avec une autre prévenue, Huimin Ren, ancienne chargée de mission auprès du président de l’université. Huimin Ren a quant à elle été condamnée à un an de prison avec sursis pour avoir bénéficié d’un contrat d’attachée temporaire d’enseignement et de recherche, sans en remplir les conditions et sans effectuer la contrepartie des heures d’enseignement de chinois prévues par ce contrat.
Le tribunal l’a également condamné à 10 000 euros d’amende et 35 000 euros solidairement avec une autre prévenue, Huimin Ren, ancienne chargée de mission auprès du président de l’université. Huimin Ren a quant à elle été condamnée à un an de prison avec sursis pour avoir bénéficié d’un contrat d’attachée temporaire d’enseignement et de recherche, sans en remplir les conditions et sans effectuer la contrepartie des heures d’enseignement de chinois prévues par ce contrat.
Et le journal Le Monde écrit : L’affaire avait fait grand bruit en 2010 et ébranlé le monde universitaire français. L’ancien président de l’université de Toulon, Laroussi Oueslati, 55 ans, était soupçonné d’avoir monnayé l’inscription d’étudiants chinois en échange de bakchichs, voire de faveurs sexuelles. Laroussi Oueslati, jugé depuis lundi 18 janvier devant le tribunal correctionnel de Marseille pour corruption, faux et détournements de fonds publics, a été condamné mercredi 24 février à deux ans de prison dont un avec sursis.
Le tribunal correctionnel de Marseille l’a reconnu coupable d’avoir pris part à un trafic d’inscriptions massives d’étudiants chinois à la rentrée universitaire 2008-2009. Il l’a également condamné à 10 000 euros d’amende et 35 000 euros solidairement avec une autre prévenue, Huimin Ren, ancienne chargée de mission auprès du président de l’université.
Cette dernière a, quant à elle, été condamnée à un an de prison avec sursis pour avoir bénéficié d’un contrat d’attachée temporaire d’enseignement et de recherche, sans en remplir les conditions et sans effectuer la contrepartie des heures d’enseignement de chinois prévues par son contrat.
Le tribunal correctionnel de Marseille l’a reconnu coupable d’avoir pris part à un trafic d’inscriptions massives d’étudiants chinois à la rentrée universitaire 2008-2009. Il l’a également condamné à 10 000 euros d’amende et 35 000 euros solidairement avec une autre prévenue, Huimin Ren, ancienne chargée de mission auprès du président de l’université.
Cette dernière a, quant à elle, été condamnée à un an de prison avec sursis pour avoir bénéficié d’un contrat d’attachée temporaire d’enseignement et de recherche, sans en remplir les conditions et sans effectuer la contrepartie des heures d’enseignement de chinois prévues par son contrat.