Qu'est ce que le Nationalisme ?

« Le nationalisme français incarne la doctrine politique qui entend œuvrer à la continuité de la France dans l’acceptation de tout son passé. Résolument tournés vers l’avenir, les nationalistes français travaillent chaque jour leur propre volonté. Ils acceptent librement d’être les maillons d’une chaîne ininterrompue qui a fait l’histoire de notre pays. Ils sont les instruments d’une histoire bimillénaire qui ne doit pas s’interrompre. Nous sommes de ceux-là.»

mercredi 30 juillet 2014

Aujourd'hui comme hier, non à l'avortement !

Qui a inventé la pilule abortive ?

Étienne Blum, juif bolchevique, oncle de Vincent Peillon !
Les associations pro-vie ont découvert que l’inventeur de la pilule abortive RU 486, le professeur Étienne Baulieu (de son vrai nom Étienne Félix Aron Blum) était un ancien militant stalinien.
Membre du Parti communiste jusqu’en 1956, il a notamment cosigné, avec une trentaine de collègues, le 30 mars 1953 un hommage pour la mort de Joseph Staline, envoyé à l’Académie des Sciences de l’Union soviétique : « L’immense douleur que vous avez ressentie lors de la mort du camarade Staline, nous l’avons partagée. Il était et il restera dans notre mémoire l’homme au monde le plus aimé de nous. (…) Chacun de nous a mieux mesuré encore combien l’étude de cet ouvrage (de Staline) enrichissait sa propre science (…). Chacun de nous a pris l’engagement de s’inspirer, tant dans la lutte idéologique que dans la lutte politique, des enseignements de celui qui restera à jamais l’un des plus grands génies scientifiques de l’histoire, de l’immortel Staline (…). Nous partons à la conquête de larges couches d’intellectuels (…), la pensée tournée vers le radieux pays de nos éducateurs, le pays de Lénine et de Staline, l’Union des républiques socialistes soviétiques. »

[Le Pr Baulieu a reçu pour sa pilule le prix Lasker, l’équivalent américain du Prix Nobel de médecine, en 1989. Il est grand officier de la "Légion d'honneur".] (Faits et Documents, du 1/12/98)

Victime et coupables dans le crime de l’avortement ?

LA VICTIME :

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Elle est petite, innocente, humaine comme nous, avec ses 46 chromosomes caractéristiques de l’espèce transmises par ses parents, unique grâce à la combinaison particulière des chromosomes, 23 maternels et 23 paternels, tellement unique qu’aucun frère ou sœur ne pourront la remplacer.
Le petit être est d’abord zygote unicellulaire puis embryon jusqu’à huit semaines — il devient alors un individu presque complet – et enfin fœtus de huit semaines jusqu’au terme.
Son cœur bat au dix-neuvième jour.
A neuf semaines, une semaine avant la date limite de l’avortement légal en France [en 1998], il pèse trois grammes et mesure 3 centimètres.
Dans l’état actuel de nos connaissances, il n’est pas viable — c’est-à-dire pouvant vivre hors du sein maternel — avant quatre mois et demi de grossesse.
 



LES COUPABLES :
 
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Il n’est pas question ici de juger les personnes —seulement l’acte — mais il faut bien les nommer : il s’agit de la mère, dernier recours, qui consent à l’avortement ; du médecin qui le pratique ; du père qui pousse à l’avortement, ou s’en désintéresse et enfin de la famille, de l’entourage.
C’est parfois tout un groupe qui est meurtrier mais c’est surtout la société elle-même.
Dans la décision interviennent les considérations les plus diverses, morales, religieuses, maternelles, psychologiques, sociologiques, économiques, politiques.
Les causes de l’avortement sont multiples :
  •     une détresse véritable : viol, inceste, conditions de vie particulièrement difficiles ;
  •     la misère matérielle qui grandit en France, même si elle est plus fréquente dans certains pays, notamment d’Europe de l’Est. Dans les pays riches, la misère est avant tout morale ;
  •     une certaine fragilité au début de la grossesse ;
  •     l’ignorance. Elle joue un grand rôle. Lorsque nous étions à la Roche-sur-Yon, les gens étaient stupéfaits d’apprendre qu’on tuait à l’hôpital. Le lien n’est pas fait entre l’avortement et le meurtre faute d’information véritable. C’est la désinformation qui est la règle. Aucune chaîne de télévision publique ou privée n’a voulu diffuser "le Cri silencieux" du Dr Nathanson qui savait de quoi il parlait puisqu’il avait fait ou fait faire 60.000 avortements ;
  •     le confort, la facilité, l’hédonisme. Certainement la grande majorité des cas. L’idéologie joue de cette pesanteur. La loi de 1975 qui se voulait restrictive a ouvert la porte à un torrent — jamais dénoncé.
  •     la mode, l’ambiance, l’habitude. Il n’est pas rare qu’un médecin qui examine sa cliente enceinte d’un troisième ou quatrième enfant, lui demande : " Pensez-vous le garder ? " L’avortement est entré dans les mœurs ;
  •     l’échec de la contraception. Sans avoir la gravité de l’avortement, la contraception procède du même esprit, celui de la facilité ;
  •     la surpopulation ? Ce danger n’est certainement pas celui de la France et de la plupart des pays européens menacés au contraire par l’absence de renouvellement des générations ;
  •     l’idéologie. Les partisans de l’avortement sont légion et souvent très agressifs. On ne sait à qui donner la palme : organismes internationaux et nationaux comme le Planning Familial, le gouvernement, la plupart des partis politiques, les médecins, les syndicats CGT et CFDT, les trotskistes de la LCR, les anarchistes de la CNT, on ne sait trop pourquoi la Licra, Ras le Front, et Sos-Racisme, les loges maçonniques, véritables auteurs de la loi sur l’avortement, la ligue des Droits de l’homme, les féministes de Choisir, du MLF, du MLAC puis du CADAC, le réseau Voltaire, et en dernier, et pas des moindres, les comités d’éthique, pour donner bonne conscience et l’apparence de la sagesse à cette folie suicidaire. Tous se prêtent la main — avant de se déchirer. N’oublions pas que ce sont des subjectivistes tournés vers eux-mêmes et non vers l’ordre des choses ;
  •     face à l’idéologie, l’abstention — à part quelques exceptions — du clergé et des évêques, tragédie de notre temps ;
  •     La faiblesse des mouvements pour la défense de la vie. Nous devons tous nous interroger et nous rappeler le proverbe chinois : " Ne maudis pas les ténèbres, allume ta petite lampe " et cette phrase du Christ : " J’ai vaincu le monde."

Dr Xavier Dor – Le crime contre Dieu (1998) – Lire le livre